Après une accalmie, de la fin du XVIIe siècle au milieu du siècle suivant, la cartographie lunaire connaît une nouvelle période faste grâce à l’amélioration technique des conditions d’observation. Les sélénographes s’intéressent de plus en plus aux détails de la topographie lunaire et aux cartes générales se substituent bientôt des atlas de plus en plus fins, proposant des cartes de régions précises de la Lune figurant des données topographiques de plus en plus détaillées.
J. N. Krieger, Mond-Atlas, 1898.