André Lallemand (1904-1978) débute sa carrière à l’observatoire de Strasbourg, dans un lieu en redéfinition spatiale et épistémologique : les idées et techniques nouvelles en physique et en chimie sont convoquées pour étendre les connaissances astronomiques. Le jeune astronome s'en saisit et profite de l’invention de nouvelles techniques liées à la photoélectricité pour fabriquer en laboratoire un prototype de « télescope électronique ».
Recruté après-guerre à l’Observatoire de Paris, il développe dans un contexte très particulier de nouveaux instruments pour l’observation du ciel.