A l'écoute de la Chine

 

Parmi ces recherches du Père Gaubil, on trouve notamment plusieurs traductions des textes du canon chinois. Delisle possède ainsi une version du Classique des Documents (Shujing, 書經) de la main de son correspondant, qui ne sera publiée qu'une décennie après la mort de son auteur (survenue en 1759).

Ce recueil d'annales des premiers temps de la Chine, dont la tradition fait remonter l’édition à Confucius, s'ouvre sur le règne du très antique empereur Yao.